On raconte que...

On raconte que la demoiselle Oon'is n'a plus à l'heure actuelle qu'un amant officiel. Et encore, elle en a changé...

Ah, en fait, elle en a ENCORE changé...

On dit aussi qu'elle serait en pourparler pour se produire au lys blanc...

La prestation de demoiselle Oon'is a apparemment fait énormément rire le public du Lotus blanc, qui en redemande...

Selon des sources mieux informées (La soeur de la cousine par alliance de la femme de chambre du lotus blanc qui n'était pas là ce soir là mais qui a tout entendu de la bouche de sa collègue et le rend fidèlement, bien entendu...), la demoiselle qu'on avait vu partir fâchée de sa prestation est revenue le sur-lendemain matin dans un état nerveux épouvantable. Elle s'est enfermée dans sa chambre tout le jour suivant.

On raconte même qu'elle aurait rompu sans explication avec son dernier amant en date. Si bien que les mauvaises langues ajoutent qu'elle n'a plus guère de ressources...

C'est une réaction peut être un peu exagérée ! Les ratés, ça arrive à tout le monde...

On dit que la demoiselle Oon'is a un nouvel amant. Ce qui n'a rien d'original. Ce qui l'est plus, c'est que son identité est mystérieuse. La seule chose véritablement sûre est que les clients ayant une chambre voisine n'ont pas très bien dormi, dernièrement...

Discussion de bas-fond

-T'as entendu, y parait que la Oon'is elle a encore un nouveau luron dans son lit?
-C'tte fille doit avoir un truc pour pas tomber grosse, y'a du louche j'te jure....

Nunki est morte dans les bois des murmures, mais depuis quelques temps, l'agitation y règne de nouveau. La cause reste à définir, mais il semblerait que des hommes en armure noire et jaune s'agitent beaucoup, et chassent avec assiduité dans la forêt.

Il se dit que le marchand Olda pourrait bien mener un groupe d'aventurier dans la forêt des murmures pour marchander avec les tenants d'une nouvelle religion fascinante. (peut-être ce soir)

La rumeur sort tout juste du beffroi des enforceur. Alors que depuis bienlongtemps on avait plus vu la protectrice hédiel il apparaitrai qu'elle était en retraite en la chapelle de fulrim.

Depuis peu elle serait sortie et paraitrai qu'elle aurait de suite démissionné de son poste.

On raconte qu'une chanson particulièrement gratinée courrait sur le vieil Olda

Des nuages sombres couvrent le ciel du bois des murmures la nuit, et des éclairs zèbrent le ciel avec violence. Un fracas assourdissant pour les oreilles, pendant qu'une pluie régénératrice tombe... Sur les lèvres on parle d'un druide, celui qui défend la nature.

On raconte que le sergent Vassili aurait posé sa démission après un entretient auprès de la capitaine Brianne(*). Il serait ensuite partit accompagné de l'ancienne enforceur Hédiel.

L'annonce en surprendra plus d'un, que ce soient les hommes du sergent auxquels il donnait encore des ordres la veille contre le tatou tueur d'homme, ou même ses amis et connaissance proches. L'homme semblant comme un poisson dans l'eau lorsqu'il se trouvait à la tête de ses hommes.

Certains avancent l'avoir vu avec la fermière Hédiel dans une discussion animé, pleine d'angoisse, de sourire, et autre affaires romantique peu avant. Les mots "mariage" "bénédiction" ayant été mentionné, mais le coin de rue, la pluie battante, et les deux personnes en armures semblait peu propice pour une telle déclaration. Et cela suffirait-il pour justifier un tel départ? Apparemment la jeune fidèle de Fulrim, tout juste sortie de mois complets en prière dans sa chapelle, aurait pris de quoi camper. Tandis que le sergent serait passé à la forge avant de partir.


Le sergent aurait aussi laissé quelques dernières consignes et avis au lames avant son départ. Et seul le fait que son équipement des lames ai été remis certifie que le sergent aurait réellement démissionné, beaucoup supposant qu'il prenait en réalité des vacances mérité après un long séjour au front dont il était revenu épuisé et anxieux, mais non moins brave.


Une chose est cependant certaine, cela en fera jaser plus d'un.





(* Non encore joué Rp, mais déjà effectif Rp parlant)

On raconte que parcourant les campagne, une sorcière colporteuse donnerais pour conseils à tout les habitant de se méfier des vendeur de produit liquide vert. Il s'agit selon elle d'une secte dangereuse d'admirateur de mageax qui répendent son poison afin de mener un assaut terrible et fatal. Pour chaque maison où personne chez qui elle se rend, elle met en garde particulièrement à propos des enfant et des animaux. Mais précise bien que cela peut aussi concerner les adultes et les vieilles personnes.

Accentuant selon l'endroit, sur la pollution des récoltes, les menaces sur les enfants, les monstruosités et déformation que cela engendre. La corruption des âmes etc... Un vent de panique va sans doute planer. Mais elle rassure toujours après. Si chacun fait attention, leur plan machiavélique échoueras. A charge de tout le monde de se méfier des inconnus vendant des liquides verts, ou produit rendu verdâtres. De toute façon, ça n'est pas la saison du kiwi, des pois ou des épinard, pensez donc, en automne!

Commère 1 : Tiens ! On voit plus trop la Oon'is... Elle aim' pourtant ben s'faire voir, cell' là...
Commère 2 : Vous n'êt' pas au courant ?
Commère 1 : Nooooon ?
Commère 2 : Bah, c'est qu'un d'ses anciens julots est r'venu qu'on croyait mort.
Commère 1 : Quoi ? En trépassé ?
Commère 2 : Non, non. En ben vivant.
Commère 1 : Ben alors ? Elle a eu un r'tour de flamm' ?
Commère 2 : Vu comm' ell' s'cache depuis, j'dirais plutôt qu'ell' craint la foudre. C'est qu'il est pas commod' et qu'ell' était ben contente qu'il n'soit plus. S'en cachait pas, d'ailleurs
Commère 1 : Ca va ptêt pas lui plair' ça...
Commère 2 : J'crois ben qu'non.
Commère 1 : Ah là là, ma pôv' Lucett', ça va encore faire des histoires...
Commère 2 : Comm' vous dites ! Mais ell' l'a bien cherché.
Commère 1 : C'te trainée....

Dans les bas fonds de Léanbrùun, des commérages prennent pour cible les elfes. On les accuse de mettre leurs nez partout et de créer des remouds. La preuve visible, est l'état des enclaves des soumis qui sont bouillantes et prêtent à exploser. On les accuse même de conspirer pour prendre la tête de la ville...

On raconte que le Sieur Dantès, chevalier de Fulrim de son état, sonderait la population soumis depuis le barrage, mis en place par les lames, en amont de l'enclave. Il ferait les cents pas, attendant une courte insurrection pour les briser de sa lame.

Commère 1 : Parait qu'y a un typ' qu'on a vu sortir de la chambr' d' la Oon'is....
Commère 2: Ah bah y avait longtemps, T'nez... Mais ell' s'est pas fait' agresser aussi ?
Commère 1 : Quoi encore ? Z'êtes sûre de pas confondr', Lucett' ?
Commère 2: Ah je n'sais point. C'est qu'on s'y r'trouve plus trop, dans ses affaires...

Commère 1 : Parait qu'la Oon'is s'est encore faite agresser...
Commère 2 : Ah ça ! Comment qu'vous l'savez ?
Commère 1 : C'est ma voisin' qui trim' au Lotus blanc qu'a tout entendu...
Commère 2 : Cell' qu'a un oignon ?
Commère 1 : Meuuuh non. Cell' qu'a un' verrue.
Commère 2 : Ahhh oui. Mais ell' s'l'est pas encore soignée ?
Commère 1 : Non c'est pir'. Heureus'ment qu'elle l'a sur l'pied. Ca s'voit point.
Commère 2 : Bah alors ? Qu'est c' qu'ell' vous a dit ?
Commère 1 : Hein ? Oh, Qu'un sal' type la harcèl' jusqu' dans sa chambr'..
Commère 2 : Rhôo ! Vous croyez qu'il l'a...?
Commère 1 : Ca m'étonn'rait point. Qu'il l'avait frappée sans doute car y avait du sang sur sa rob' Et y avait l' Georges aussi qu'essayait d'en savoir plus...
Commère 2 : Oh quel bel homme lui !
Commère 1 : Ah ça ! C'est vrai qu'y en a pas tant d'si bien dans nos âges !
Commère 2 : Enfin, pour c'qui est d'la Oon'is, hein, c'est pas comm' si c'était une innocent'.
Commère 1 : Ca, c'est vrai qu'ell' l' cherch' un peu beaucoup...

Des citoyens font courir le bruit qu'ils auraient vu un attroupement étrange autour de la tour d'entropie. Tout un groupe se serait massé devant ses porte pour finalement partir en laissant l'un d'entre eux dans une position dévote face à la tour.

Il parait même qu'un membre du personnel de l'oeil aurait tenté d'enquêter, sans grand succès devant le silence de ces étranges individus. On dit même que le brave homme aurait été menacé. Mais on dis aussi qu'il essaye surtout de se faire mousser en espérant une promotion au sein du journal.

Commère 1 : Enfin j' n'ai pas trop bien compris ct'histoir', sauf qu'y a encor' la Oon'is dedans...
Commère 2 : Mais qui c'était, ct' homm' ?
Commère 1 : C'est qu'y f'sait nuit ! Un grand costaud en armur'...
Commère 2 : Rhô ! Un militair' ? Ou va t'on s'ils vont avec c' genr' de femm' ?
Commère 1 : Bah c'est qu'y vont un peu avec tout' cell's qui veul'nt ben...
Commère 2 : Alors Quoiqu'ell' a fait après ?
Commère 1 : Bah ell' s'est enfermée chez ell' !
Commère 2 : Ell' en fait tout' un foin pour une histoir' de fess' !
Commère 1 : Oui da ! J'vous l'fais pas dir' !

De nombreux mystères aux quartiers noble.

Beaucoup auraient en effet entendu dire qu'une jeune fille aurait été enlevée lors d'une réception organisé par le très en vue Comte d'Arlsemberg. Si cependant personne ne sait qui est la malheureuse. Et pour les besoin de l'enquête, cette dernière est priée de se manifester auprès d'une autorité compétente promptement si cela lui est, bien évidement, possible.

Le très zélé et brillant fonctionnaire le vicomte Knarpanti (inspecteur général des oeuvres et travaux de défense, l'illustre homme qui sauva les haut quartier d'une nauséabonde odeur de poissons venant du quartier marchand) par son flair sans faille découvrit que le gredin coupable n'était autre que le misanthrope Louvain, singulier personnage qui semble avoir une peur bleu du sexe opposé, et ne serait pas sortit de sa demeure, selon les dires, depuis quatre ou cinq années.

Cependant, lors de la perquisition au domicile de celui-ci l'homme avait disparut, ne laissant derrière lui qu'une maison entièrement vide, si l'on excepte deux bien curieuse plantes entrelacée (si étrangement d'ailleurs que leurs pistiles exposées face à face se touchent presque, tandis que leur racines semblent impossible à séparer) que des expert de l'orbe ont été sommé d'identifier.

L'une semble être la légendaire Rungaris que l'on dit ne pouvoir germer qu'avec l'aide d'une fée et d'un jardinier plus qu'expert, puisque le seul précédent semble remonter à la légende du roi jardinier qui préférait ses fleur à ses sujets. Autant dire que cela date d'avant l'arrivée de syphère, si un tel fait existe bel et bien.
Quand à l'autre, l'espèce semble être pour l'heure inconnue. Il s'agirait d'une sorte de tulipe à feuille rondes, et dont la bordure des corolles serait comme liserée d'argent. Et des Herboriste se sont déjà arraché les cheveux à tenter de savoir où la classer.

Commère 1 : Oui da ma Lucett' ! On les a vus ensemb's, qu'ils sont mêm' allés à l'auberg' du pont.
Commère 2 : Quoi ? Lui mais il avait l'air aussi droit qu'un "i". Qu'est c'qu'il lui trouv' à la Oon'is ?
Commère 1 : C'est qu'ce genr' de femm', ça sait fair' des chos's aux homm's qu'ça les rends idiots.
Commère 2 : C'est ben trist'...
Commère 3 : Ben d'quoi qu'vous causez donc ?
Commère 1 : D'la Oon'is...
Commère 3 : Ben qu'est c' qu'ell' a la Oon'is ?
Commère 2 : Ben l' jeun' armuré, là, le Dantès, il s'rait avec.
Commère 3 : Bah ! Ca fait un moment qu' j'sais ça !
Commère 1 et 2 : QUI QUE QUOI ?!
Commère 3 : C'est point une surpris'. J'le sais parc'que ma nièc' fait les chambr'à l'auberg' du pont.
Commère 1 : Encore un bel honnêt' gars qui s'fait embringuer par une allumeus' !
Commère 3 : Ell' l'allum' point puisqu'ell' couch' avec. Et ell' a ben raison. Faut manger avant qu'd'êtr' mangée... Vous avez oublié vot' jeuness' ? On s'amusait pourtant bien à l'époqu' !
Commère 2 : Mais c'est qu' c'est une mauvais'fille ! Une voleus' de maris !
Commère 3 : Vu la tête du tien, Lucett', pas d'danger qu'on t'le vol'..

Quelques instants plus tard, il fallut environ trois lames pour séparer autant de vieilles dames en train de se crêper le chignon devant la halle marchande...