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 Hilizil Oon'is

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Elsie

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MessageSujet: Hilizil Oon'is   Hilizil Oon'is Icon_minitimeVen 1 Oct 2010 - 13:26

Chapître 1

Il était une fois une petite elfe orpheline.
Jusqu’à présent, rien de bien neuf. A peine de quoi faire pleurer dans les chaumières.

Recueillie par le frère aîné de sa mère, au sein de la très fermée communauté des elfes des Bois de Luyr, elle y reçut une excellente éducation malgré un caractère quelque peu indocile. Elle s’avéra fort douée dans diverses disciplines artistiques. En particulier dans l’art subtil du chant. Cela aussi, ça n’a rien de très extraordinaire. Mais passons.

L’enfant était en outre d’une merveilleuse beauté. C’est encore moins original.

Là où les choses se corsèrent un peu, c’est qu’avec les années, ce qui n’était au départ qu’une touche d'impertinence charmante chez une enfant devint une rébellion flagrante. L’oncle eut beau faire tour à tour montre de compréhension ou de sévérité, ce fut en pure perte. Il faut dire qu’à force d’entendre louer son allure et ses dons variés, la demoiselle était devenue des plus orgueilleuses. Au point que ses amis l’évitaient de plus en plus. Ils se passaient fort bien des caprices d’une « petite princesse ».

La jolie plante se gâtait donc avec application. Et ce d’autant plus que sa solitude nouvelle la remplissait d’amertume. Elle n’avait aucune envie de s’expliquer sur le pourquoi du comment de son attitude. Il y avait pourtant une blessure. Il y avait un secret.
Ca non plus n’est pas très original. Il n’est pas de famille qui n’en ait, petits ou gros. Les parents de la petite n’étaient pas morts dans un accident, comme on le lui avait fait croire (Les oncles manquent singulièrement d’imagination dans leurs mensonges). Non, si sa mère était bien morte accidentellement, c’était en essayant de rejoindre son père. Un elfe extérieur à la communauté. L’oncle qui la poursuivait pour l’arrêter n’avait pu sauver que l’enfant. La fillette n’avalait pas le mensonge de tant d’années. Elle n’appréciait pas non plus le jugement moral implicite sur sa mère. N’était elle pas née de cette union réprouvée ? D’autant qu’elle sentait vaguement qu’il y avait encore anguille sous roche…

Conséquence ô combien prévisible de cette colère et de son orgueil : Elle fugua. Elle avait alors environ 85 ans. C’est très jeune pour une elfe. A peine pubère, en fait. A cet âge, on fait preuve de tout, sauf de sagesse. Et une si jeune fille seule sur les routes court de graves dangers. La chance devait lui sourire qui voulut qu’elle atteigne la grande ville sans trop de peine. La chance et la caravane d’un brave marchand à qui elle fit croire qu’elle allait rejoindre son père…

Pour la fillette, tout était nouveau et étrange : La diversité des races, des positions sociales, la variété des atours et des coutumes, les odeurs, la lumière, le bruit…

Elle fut séduite immédiatement. Mais l’anonymat que lui conférait la grande ville la gênait quelque peu. Elle sentit vaguement que rien ne serait aussi simple que chez elle. Restait que les possibilités offertes lui semblaient infinies. Elle se trouvait, pour la première fois de sa vie, devant un VRAI défi : Se faire un nom, sans les facilités qu’un milieu protégé lui avait jusque là offertes...


Dernière édition par Elsie le Sam 23 Oct 2010 - 10:45, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Hilizil Oon'is   Hilizil Oon'is Icon_minitimeLun 4 Oct 2010 - 6:42

Chapître 2

Son premier choix allait s’avérer moins judicieux qu’elle ne l’aurait voulu… Il fallait se trouver un logis. De préférence un peu meilleur que le dessous d’un pont. Elle avait récolté quelques lames en chantant, mais il n’y avait pas là de quoi fouetter un chat. Et de toute façon, fouetter une de ces pauvres bêtes n’était pas dans ses habitudes.

C’est dans une auberge miteuse, alors qu'elle se faisait mettre dehors (les aubergistes n'ont guère de compréhension pour les gamines elfes sans le sous, même jolies) qu’elle fit la connaissance de Cassandra. Cette dernière l’amena à sa « logeuse ». En fait de logeuse, il s’agissait de sa mère, accessoirement, une ancienne courtisane de haut vol qui avait converti ses gains en « pension de famille ». Sa fille exerçait à présent le même métier, mais avec moins de succès.
Elles logeaient, cote à cote, prostituées, comédiennes plus ou moins frivoles et autres demoiselles de petite vertu. Contre un loyer modique et une participation aux tâches domestiques, « La vieille », qui n’avait pas la cinquantaine, leur prodiguait son « savoir » et ses « relations ». Ca n’était pas aussi fermé qu’une maison close (pléonasme !). Mais ça restait un monde interlope aux antipodes de ce que la jeune elfe avait pu connaitre.

La petite, fort belle, même pour une de sa race (et bien qu’elle soit encore en plein âge ingrat), fit sensation. Cassandra eut une longue conversation avec « la logeuse », à son sujet alors que l’enfant dormait paisiblement. L’elfette était encore trop jeune pour le commerce des sens. Sauf pour certains pervers, mais ce serait gâcher. Si elles manœuvraient bien, cette fillette pourrait ramener un jour plus d’or que toutes les pensionnaires de la maison. Il fallait l’éduquer afin de l’y amener tout doucement.

C’est ainsi que la fillette commença son « apprentissage » chez Volnia, ex-catin de luxe qui lui apprit à se placer, à se parer, à avoir conscience de ses charmes et d’en user. En même temps, les quelques artistes de la « pension » lui donnèrent de précieux conseils…

Les années passèrent. La jeune fille mûrissait. Trop lentement aux goûts de certains. La vieille méritait bien son surnom, à présent, et Cassandra n’avait plus d’amants. C’était un manque à gagner non négligeable. Ses relations avec ses « bienfaitrices » s’étaient détériorées. La plus grande part des corvées lui étaient désormais dévolues, histoire de calmer son petit caractère par l’épuisement. La « gamine » n’en trouvait pas moins pour autant le temps de penser à son existence et ce qu’elle voulait en faire.

Elle n’avait aucune envie de vendre sa virginité au plus offrant, comme Volnia l’avait décidé. Mais avec les années, devenues plus prudente, elle ne se risquerait plus seule sur les routes. Ou irait-elle si elle partait ? La vieille s'impatientait. Elle ne pourrait plus guère reculer le moment fatidique. Elle se creusait donc la cervelle à la recherche d’un moyen de s’en aller sans se retrouver avec un contrat sur sa tête... Et elle trouva.

Elle se maria !


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MessageSujet: Re: Hilizil Oon'is   Hilizil Oon'is Icon_minitimeMer 6 Oct 2010 - 8:13

Chapître 3

Quelques jours après avoir constaté que leur « protégée » avait mit les voiles, alors qu’elles exerçaient leur imagination à imaginer à quels sévices la livrer si elles la retrouvaient, Volnia et Cassandra reçurent la visite d’un vieil homme portant encore beau. Il se faisait nommer Amédée. C’était un ancien négociant en toile qui avait fait fortune en inventant un procédé de tissage révolutionnaire. L’affaire était un peu technique et peu de monde y comprenait réellement quelque chose, sauf que ça faisait gagner du temps et de l’argent. Quoiqu’il en soit, le marchand/inventeur était maintenant octogénaire.

C’était lui que l’elfe avait épousé. Il déboursa une belle somme pour que Volnia oublie « la petite ».

Les braves gens, qui ne savent jamais grand-chose, étaient partagés entre ceux qui étaient persuadés que le vieux bonhomme s’était « offert» une jeunesse tombée dans la misère et ceux qui pensaient que la jeune fille usait de ses charmes pour détourner l’héritage du vieillard. Ils se trompaient dans l’un et l’autre cas.
Car le vieillard n’avait guère plus la force de goûter aux joies de la chair avec qui que ce soit. Et il n’en avait, pour dire la vérité, jamais eu l’intention. Loin d’être idiot, il n’aurait pas non plus été crédible dans le rôle de victime d’une « croqueuse de diamants ».
En fait, ce mariage l’arrangeait lui aussi : Il lui évitait de se retrouver mis sous la tutelle de son fils. Ce n’était pas un mauvais garçon, mais les relations entre les deux hommes étaient exécrables.

Entre ces deux êtres d’histoires et de natures si dissemblables, c’était donc tout à la fois un échange de bons procédés… et une histoire d’amitié pure. Ils s’étaient rencontrés dans une taverne ou la Vieille avait placée l’elfe pour qu’elle lui rapporte quelques lunes en chantant. Il aimait la musique et venait souvent bavarder avec elle après le spectacle. Amédée fut le premier « protecteur » de la jeune barde. Et à ce jour le seul pour lequel elle manifesta compréhension et respect. Sans doute parce qu’il fut le seul à ne rien attendre d’elle.

Il était entendu entre eux qu’elle ne toucherait qu’un minime héritage. Cela n’empêcha pas la jeune elfe de faire son apprentissage des affaires auprès de lui. Elle apprenait vite, au point d’être devenue, au bout de quelques mois, son intendante. Elle fit aussi son apprentissage de l’hypocrisie de la classe bourgeoise humaine. Dans un monde régi par l’argent, les apparences et les mariages de convenances, on lui pardonnait peu de ne pas chercher à cacher que le sien en était un. On acceptait encore moins qu’elle ait été littéralement « sortie du ruisseau ». La jeune fille avait tu ses origines d’aristocrate elfe alors même qu’elles auraient pu lui servir dans ce milieu. En vérité, seul Amédée les connaissait et en gardait le secret, bien qu’il la désapprouve fortement sur ce point.

Elle ne s’y fit donc guère d’amis. Et elle devait garder de cette expérience une amertume qui devait plus tard l’aider à lever certains scrupules. Elle devait aussi prendre conscience d’à quel point les gens les plus privilégiés pouvaient vivre en décalage par rapport au peuple des rues qu’elle avait si longtemps fréquenté. L’elfe, si vaniteuse soit-elle par moment, n’était pas dépourvue de sensibilité et un sentiment de profonde injustice s’insinua progressivement en elle. Mais elle se garda bien de trop le laisser paraitre.

Il était bien plus profitable de cultiver la légèreté.

Tout cela ne dura pas un an. Amédée mourut. Il ne lui laissa qu’un petit quelque chose pour « voir venir », comme il était prévu. La jeune fille était libre, mais elle venait de perdre son seul véritable ami en ville…
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MessageSujet: Re: Hilizil Oon'is   Hilizil Oon'is Icon_minitimeDim 10 Oct 2010 - 11:56

Chapître 4

Elle fut tentée, l’espace d’un instant, de retourner dans les bois de Luyr. Mais elle s’était faite à la ville. Et sa rancune d’enfant n’avait fait que grandir avec elle. Elle resterait donc. Elle mit ses quelques économies à la banque et chercha du travail. Elle recommença à chanter dans les tavernes, y attirant une clientèle essentiellement masculines. Non que la jeune fille n’eut d’autres talents que sa beauté. Elle était une chanteuse d’exception et prenait son art très au sérieux. Mais elle ne se faisait aucune illusion. Elle aurait pu décider de se battre contre cette étiquette de « fille légère » qu’on lui accolait. Elle décida qu’il y aurait, dans la vie, bien d’autres combats à mener. Mieux valait ne pas gaspiller son énergie.

Elle en jouait donc, et faisait du désir qu’elle inspirait une de ses armes.

Elle prit un amant. Un homme mûr, notable, expérimenté qui l’initia plus « concrètement » à l’art d’aimer. Le Monsieur avait un certain savoir-faire en la matière. Et un reste de romantisme profondément enfoui en elle lui fit espérer plus qu’il n’était décidé à lui offrir. Elle se crut amoureuse. Mais il était marié et n’était pas décidé à quitter son épouse. Elle fut très déçue. Cependant, preuve qu’elle n’était pas si amoureuse, elle resta quelques mois encore avec ce protecteur qui continua à la couvrir de cadeaux, comme si ne rien n’était.
Ne se sentant du coup aucune obligation de fidélité, elle ne tarda pas à le tromper avec des amants en général fortunés. Notons cependant qu’elle ne les choisissait que susceptible de lui plaire sur le plan charnel également. Son initiateur en prit ombrage, ce qu’elle trouva de fort mauvais goût. Elle n’avait du coup plus guère de confiance en lui et ne tarda pas à le quitter. Ce qui ne l’empêcha pas, à l’occasion, d’accepter ses visites… et plus si affinités (C'est-à-dire toujours).

Alors commença une vie des plus rocambolesques, entre performances artistiques indéniables (mais rares), rendez vous galants avec ses « protecteurs » successifs et les cours assidues de plusieurs « prétendants ». Elle commença à se faire un nom dans le « demi monde ». Tant pour son charme et son esprit, que pour sa manière de se venger de qui blessait son orgueil.
Sa renommée dans les cercles qu’elle fréquentait eut pu atteindre des sommets n’eut été deux événements qui la « freinèrent » dans cette ascension.

Tout d’abord, elle eut sa surprise, un jour, alors qu’elle flânait dans les rues de la Capitale de voir, exposée dans la vitrine d’une boutique d’antiquités, un petit tableau qui la représentait. Elle en resta bouche bée. Mais moins peut être que le commerçant qui crut, l’espace d’un instant voir son tableau s’animer. Certes, l’elfe du portrait était vêtue à la façon des gens du bois de Luyr et ses cheveux étaient plus longs. Mais hormis ces détails, la ressemblance était stupéfiante.
La conversation avec l’antiquaire l’éclaira quelque peu à ce sujet : le portrait était ancien, au moins un siècle, et il faisait partie de la succession d’un jeune homme qui l’avait vendu pour payer une dette de jeu. Il était indéniablement de facture elfique. On l’attribuait à un elfe particulièrement doué que les historiens de l’art appelaient « Le Maitre de Skalde » car il y avait beaucoup officié, bien que ne signant jamais ses œuvres.
Plus d’un siècle… Le bois de Luyr… C’était forcément sa mère qui avait posé là ! Et il était fort probable qu’il avait été en possession de ce père dont elle ignorait tout. Comment sinon aurait il pu voyager jusque ici ? Mais comment avait il pu oser s’en séparer !? Un frisson de colère et de douleur l’agita qu’elle réprima immédiatement. Après tout, elle n’avait jamais connu sa mère. Elle n’avait pas à se sentir concernée. Mais elle se sentait concernée quand même…

Plus tard, Une des ses rivales en amour, sachant qu’elle avait été mariée, ne se priva pas de faire courir une rumeur sur son défunt époux… Amédée serait venu grossir la troupe des trépassés. Etait ce vrai ? Etait ce faux ? Invérifiable immédiatement. La jeune elfe ne fit montre d’aucun sentiment autre que l’étonnement quand le bruit lui parvint. Mais une fois seule dans sa chambre, elle s’écroula. On l’a dit, son amitié pour son « sauveur » était aussi profonde que sincère et cette possibilité perturbait tout ce en quoi elle croyait. La belle n’avait, comme beaucoup de monde, que du mépris pour les non-morts...

Ces événements l’ébranlèrent donc et une petite mécanique s’enclencha dans la cervelle peut être trop pragmatique de la jeune elfe. Certaines convictions sont amenées à évoluer quand on y est directement confrontée. En voyant le visage d’Amédée sur les soumis qu’elle croisait, la compassion se fit une petite place dans son cœur. Elle fit également le point sur sa jeune vie (jeune pour ce qui est des elfes, en tout cas). Une vie paradoxalement insatisfaisante, bien qu’elle ne mette que peu de bornes à ses plaisirs. Des choses importantes pour elle étaient passées au second plan. Ses idéaux de justice sociale, La quête de ses origines…

Sans jeter aux orties ses amants et leur « générosité », peut être était il temps de travailler à se rendre un peu utile…


Dernière édition par Elsie le Dim 10 Oct 2010 - 15:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Hilizil Oon'is   Hilizil Oon'is Icon_minitimeDim 10 Oct 2010 - 15:01

Epilogue :

Au moment ou Hilizil rencontre Lauralee, Eorl et consorts, ce qui a précédé est des plus confidentiels.
Bien sûr, un personnage qui aura pas mal fréquenté le « demi monde », c'est-à-dire cette couche de la société ou se croisent courtisanes de haut vol, artistes, intellectuels plus ou moins « engagés» et riches débauchés de tous âge aura entendu parler de la si charmante demoiselle Oon’is et de sa réputation de talent et de légèreté. Une personne plus curieuse aura même pu apprendre qu’elle est veuve d’un certain Amédée Leral, négociant.

Mais de ses origines, il n’est pas fait mention ou que ce soit.

A un regard extérieur, la belle elfe donne l’impression d’une vie sans gros soucis et avec fort peu de remise en cause personnelle. Elle ne cache ni son orgueil, ni ses caprices, et encore moins le fait qu’elle ne s’embarrasse guère de morale dans sa façon de gérer ses amours. C’est de façon notable une femme entretenue par ses divers amants dont elle change dès qu’ils la lassent ou dès qu’ils font mine de vouloir l’exclusivité de la jouissance de ses charmes. Elle teste d’ailleurs régulièrement leur tolérance.

A qui n’a que peu idée du cheminement de son esprit depuis plus de vingt années (C'est-à-dire la plupart des gens qui la connaissent), il peut paraitre curieux qu’elle se soucie aussi soudainement des affaires de la cité.


Dernière édition par Elsie le Lun 8 Nov 2010 - 13:05, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Hilizil Oon'is   Hilizil Oon'is Icon_minitimeLun 8 Nov 2010 - 13:05

Quelques petites choses que ceux qui connaissent bien Hizi, c'est à dire la croisent régulièrement, ont pu remarquer...

- Bien que très coquette et aimant les bijoux, Hizi ne se maquille jamais, exception faite d'un peu de rouge à lèvres pour ses spectacles. Mais il semble que ce soit alors plus un rituel anti-trac qu'un vrai accès de coquetterie...
- Hizi est donc "traqueuse" comme on dit dans le milieu du spectacle (rien à voir avec la chasse ^^)
- Dans les périodes de grande tension, il lui arrive de fumer certaines herbes qui détendent...
- Elle use de savon aux fragrances de fleurs blanche et se parfume avec de l'huile essentielle de menthe. Elle ne porte jamais d'autre parfum.
- Elle est étonnemment à l'aise en milieu forestier alors qu'elle donne plutot l'impression d'une citadine.
- Elle est également très respectueuse de la nature.
- Elle possède aussi quelques connaissances étonamment pointue sur la culture elfe traditionelle.
- Hizi est religieuse et va régulièrement prier au temple des neuf. Elle affectionne, sans ordre particulier, Nérée, Ashen Kaï et Scylla. Mais elle prie régulièrement les autres.
- Hizi aime particulièrement les chats.
- Hizi a en horreur qu'on la tutoie sans autorisation.

Par ailleurs : le nom d'Oon'is est rare. Il a pu être entendu du coté de Skalde comme le nom d'une famille plutôt noble dont une jeune fille s'est enfuie vingt ans auparavant.

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HRP : Si le staff veut se servir d'un des pnj que j'ai décris dans son BG, qu'il ne se gêne pas ^^. J'ai du dire le plus important à leur propos.
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MessageSujet: Re: Hilizil Oon'is   Hilizil Oon'is Icon_minitime

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