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 Histoires et légendes syphériennes

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Pognes
exuvie
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exuvie

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MessageSujet: Histoires et légendes syphériennes   Histoires et légendes syphériennes Icon_minitimeMar 22 Juin 2010 - 21:51

Citation :
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La meurtrière du pont de Sous-colline.

... Un ouvrage de la collection "les légendes de sous colline".


Plusieurs légendes courent sur le pont menant de Sous-colline au petit moulin, en direction de Léanbruun.L'une d'elle raconte qu'au temps où ce pont était neuf, un jeune chevalier nommé Jehan Denoiramy avait la charge de le garder et de recueillir la taxe que les usagers devaient verser pour l'emprunter. Ce chevalier, jeune, beau et respecté, captivait le coeur de nombreuses jeunes filles des parages. L'une d'elle, la Sous-collinoise Isabelle Elodée, pensait vivre un conte de fée, puisqu'entre toutes, elle était courtisée par Jehan. Et c'est avec joie qu'elle le surpris un soir, cueillir un bouquet de coquelicots. Plutôt que de lui révéler sa présence, elle préféra le suivre discrètement puor ne pas gâcher la surprise, qu'à n'en pas douter il lui destinait. Pourtant, ce n'est pas le chemin de sa maison qu'il emprunta, mais celui d'un manoir au delà du petit moulin. Sous l'une des fenêtres où filtrait un mince filet de lumière, le chevalier s'arrêta et toqua au carreau. La fille du maître des lieux lui ouvrit discrètement, et Jehan entra après lui avoir délivré ses fragiles coquelicots. C'est pleine d'appréhension et d'hésitation qu'Isabelle s'approcha de la fenêtre avec la terrible idée de confirmer ses craintes. Horrifiée, elle embrassa la chambre du regard et vit le couple s'ébattre dans le lit faiblement éclairé par le feu mourant de la cheminée. Le coeur et l'esprit détruit par la trahison de son amoureux, Isabelle attendit que tout redevienne calme dans la chambre des amants. Elle s'introduit alors dans la pièce, pour égorger avec l'épée de Jehan son légitime propriétaire et la jeune rivale. Rendue véritablement folle par les événements de la soirée, elle revêtit l'armure du chevalier, la noircit de suie, et se rendit au pont. Pendant des heures, elle le garda, ne laissant passer personne. Elle n'hésitait pas à charger lame au clair quiconque essayait de forcer le passage. Finalement elle mourut de chagrin. On raconte que ce n'est que lorsque l'odeur de son cadavre commença à empuantir l'air que les villageois osèrent s'approcher de sa silhouette, toujours debout et en armure. Depuis ce jour, la légende dit que tous les cent ans, le fantôme d'Isabelle Elodée revient garder le pont, tout en armure noire. Le fantôme de la jeune fille ne laisse alors traverser personne, et ne disparaît pas tant qu'on ne lui a pas remis, en guise de taxe de passage, un bouquet de coquelicots et quelques mots d'amour.

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Pognes

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MessageSujet: Re: Histoires et légendes syphériennes   Histoires et légendes syphériennes Icon_minitimeMer 23 Juin 2010 - 15:37

Pardonnez pour les fautes. Je met entre parenthèse ce que Vassili a volontairement omit hier.

Citation :
Le chevalier des profondeurs

L'histoire que je vais vous conter commence comme bon nombre de récits. Un jour honni, les sournois gobelin envoyèrent leurs armées innombrable à la surface. De leurs assauts, il ramenèrent de nombreux trésors, et captifs. Parmi ces malheureux prisonniers, se trouvaient une jeune femme qui épargnée par le destin nous conta cette histoire.
Les gobelins l'emmenèrent jusqu'au plus grande profondeurs de leurs sombres grottes, d'où ni elfe, ni hommes, ni petites gens n'ont jamais put revenir s'ils en ont un jour foulé la terre de leur pieds. Mais le destin fit pour cette fois une exception.

Car au plus profond des cavernes gobelines, à la lueur des torches, la beauté de la jeune femme irradia d'une lueur intense le coeur d'un être qui n'avait connu que les ténèbres.
Sans comprendre pourquoi ni comment, gobelin et jeune femme furent surpris de voir un homme en armure jaillir d'une parois de la grotte.
A vrai dire, il n'était pas aisé de savoir si les vêtement noircis, et brunâtre étaient ou nous une armure, et si ce que l'homme tenait à la main et dont il frappait avec une rude et vaillante efficacité les gobelin était une épée.
Quand à l'homme, ses yeux étaient extatique, les pupille si dilatée qu'elles en étaient démesurées, une crinière noire et sale lui servaient de barbe et de cheveux à la fois, ses bras gris laissaient voir de nombreuses veines bleues.
Le combat en lui même fut aussi bref qu'épique, se jeter seul dans une salle, à peine éclairée par quelques rare torches, emplie tout entière d'une armée gobeline en décimer la moitié tout en libérant une jeune femme et s'enfuir avec elle tout en ne récoltant rien de plus que des égratignures, nul autre homme aurait put le faire.
Si bien que la jeune femme cru être à nouveau être captive d'un monstre, quand celui-ci l'emporta dans d'obscures cavernes, où aucunes lumières n'avaient jamais du paraître. Et où même les gobelin n'osèrent s'aventurer.

Ils firent une halte dans une grotte immense, et au grand étonnement de la dame, l'homme se mit à parler d'une voix hésitante et mal articulée.

« Pardonnez gente dame de ne pouvoir vous faire de lumière, voilà longtemps que je n'ai pu faire de feu ou de lumière, car il n'y a pas de bois ici sous terre. »

Surprise, la jeune femme se tint coi. Et tâtant l'ombre devant elle, elle sentie deux mains saisir les siennes, elles étaient rugueuse, moites et froides.

« Ne vous inquiétez pas si vous ne voyez rien, je verrais pour deux, je vous guiderais vers la surface. »

Pas très rassurée, et craignant d'être dupe, elle recula quand il s'approcha pour lui proposer du poissons cuit une pierre chauffé elle ne sut comment.
« Qu'êtes vous? »
Face à la méfiance de la jeune dame, l'homme n'opposa qu'un long silence. Un silence glacial, celui des profondeurs où la moindre goutte d'eau tombant du plafond devient une bénédiction pour les oreilles, et où notre propre respiration devient un son démesurément bruyant. Puis, après une longue pause il répondit:
« je vous ferais remonter à la surface. »

Dépité et loin d'être rassurée par ce mystérieux silence la jeune femme décida de rester sur ses gardes. Il pouvait s'agir d'un vampire, ou d'un de ces être maléfique des profondeurs dont nous n'avons entendu que les échos de leur malfaisance par de rares récits.

Il la mena par des sentiers creusé dans la roches, par l'eau, ou la main déterminée de l'homme. Le trajet fut long et difficile, ce que la jeune femme se décrivait comme les entrailles vivante de la terre. Tout lui apparaissait comme noir et informe, dangereux, coupant. Des espaces vide sous les pieds où les mains donnant un vertiges car la vue n'avait aucun repère, l'ouïe ne percevait plus que la respiration du corps et le bruit de leurs pas, l'odorat ne sentait que l'odeur entêtante de la pierre humide. Tout ne passait plus que par le toucher, la pierre la pierre la pierre, parfois douce et lisse comme la caresse du vent, parfois granuleuse et écorchée comme un bosquet épineux. Et parfois, parfois, cette main chaude et douce, comme un miracle parmi la pierre.

Au bout d'un long moment, ils s'arrêtèrent dans une grotte immense, bercée du doux bruit d'un écoulement d'eau. L'air y était un peu plus chaud, l'homme expliqua que la source qu'ils entendaient était chaude. Elle tombait après un bref ruissellement dans un petit lac, où l'eau était plus tiède.
Ils prirent un instant de repos. La jeune femme constata que le lieu était l'abri de l'homme. On y trouvais des objets en nombres.

Il la laissa là, allant chercher de quoi nourrir la jeune femme près de la source. Laissée soudainement seule à nouveau dans ce noir absolue, perdue, elle interrogea d'une voix déterminée mais tremblante face à l'abandon.

« Qui êtes vous? »

Une fois encore le silence se fit entendre, puis la voix de l'homme se répendit sur les mur de la caverne empêchant de savoir où il se trouvait.

« Je suis le chevalier des profondeurs, fils d'un seigneurs qui appartenait à l'armée vaincue au pont de Blanque Taque. Mon père mort, j'étais le seul héritier de cette lignée. Las un comte voisin profita de l'occasion pour agrandir ses terres. Comme mon père fut un Tyran en son temps, personne ne s'y opposa vraiment, seul la loi contraignait le comte à me céder une terre où il pouvait m'exiler. Ce qu'il fit en m'offrant tout le sous sol de ses terre située à cinq toise sous le sol. On m'abandonna donc dans l'une de ces caverne du mont de fer qui mène au entrailles de la terre. Avec pour seul suivant un percepteur resté fidèle à ma lignée qui décida volontairement de partager mon sort. Ce fut mon seul compagnons pendant mes premières années de vie. Il m'appris tout ce qu'un chevalier dois savoir. Là sous la terre. L'honneur et le devoir envers la terre que l'on nous a confié, être le protecteur des faibles, le défenseur des opprimés. Tout cela, je l'ai reçu et appris en héritage comme autant de trésor que l'on garde pour soi. »


(«J'appris par moi même à me déplacer sur mes terres, de cavernes en cavernes, vers les grottes toujours plus profonde, ma demeure n'a pas de limite tout comme le ciel. Un ciel invisible que vous foulez, reflet du monde d'en haut. Un ciel avec ses étoiles et ses lueurs. »)

L'homme revint, un poisson cuit sur un plat de pierre à la main qu'il partagea à la jeune femme. A la question silencieuse de celle-ci il répondit tout aussi silencieusement en l'amenant à la source chaude dans laquelle trempaient des pierres qui sortie brulantes pouvaient faire cuire les aliments.

Il cheminèrent encore un temps ensemble, (où le chevalier montra les merveilles de son royaumes, les plantes étranges, les roches usées par les eau et dont le toucher était aussi doux que la caresse du vents, le doux chant des cascades. L'odeur délicieuse de certaines cavité. Mais aucune de ses merveilles n'enchanta la jeune femme, pour elle riens ne valait un ciel radieux, le chant des oiseau ou le crépuscule sur les champs. Aussi pressa-t-elle la marche, persuadée qu'elle pourrait rétablir le jeune chevalier sur son trône, elle abonda de propos en ce sens. Mais ne reçu guère de réponse de son guide.) Elle ne s'en aperçut pas, mais lorsqu'enfin elle vit la lumière du dehors apparaître, elle couru enjouée vers l'air frais et les promesse du vent. Mais lorsqu'elle se retourna, il avait déjà disparut dans les profondeur de la terre. Les parois rocheuse répétaient en un dernier écho le murmure de ses dernières paroles.
ui
« Gente dame, tu fus un instant le soleil de ces cavernes, ta peau illuminait ces terres de milles feux, ta peau brulait la mienne. Une douce et tendre lumière, une douce et tendre brulure. Mais tu appartient au monde d'en haut, à cette lumière où tu es née. Retourne parmi les tiens. Tu as offert la lumière du jour et de la lunes à mes terres, cette lumière résonnera ici. Adieu.
(« Comme tu ne peut regarder ton soleil en face, je ne pourrais vivre dans ton monde d'en haut où mes sens seraient noyé autant que mon esprit. Adieu, va! »)


Il fallut trois jours à la jeune dame pour rejoindre son village où elle conta l'histoire. On confirma le triste destin du jeune seigneurs, bien que personne n'ait supposée qu'il ai put survivre. L'affaire fit grand bruit, et le comte usurpateur, tout aussi tyranique que son prédécesseur, fut destitué.

Mais jamais le chevalier des profondeur ne revint à la surface. Il est d'autre légendes qui content ses apparition protégeant les égaré sous terres, d'autres histoires d'autres récits.


(Beaucoup pleurent le sort du chevalier. Mais comme le dis le cantique, que Nérée souffla à ses fidèles:

« le silence seul permet le verbe,
Et les ténèbres la lumière,
Comme de la mort jaillie la vie :
Étincelant est le vol du faucon
Dans le désert des cieux. »
(Ursula le Guin pour le poème))
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Asmoria

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MessageSujet: Re: Histoires et légendes syphériennes   Histoires et légendes syphériennes Icon_minitimeMer 23 Juin 2010 - 18:51

Citation :
ALEXANDRE.

J'étais orphelin de cinq ans
De père, de mère et de parents
J'étais réduit de cette sorte
Demandant mon pain de porte en porte
Un bon marchand par charité
De ma pauvreté eu pitié

Un jour, marchant dans la forêt
Mon maître allait par devant moi
Saisi d'une rage destinée
Je levai ma sanglante épée
Sans craindre mon Dieu tout puissant
Je trempai la main dans son sang

Mon bon maître tombant à bas
S'écria grand Dieu qui est là ?
Est-ce bien toi mon Alexandre ?
Ne vois-tu pas mon sang se répandre ?
Sept ans tu as mangé mon pain
Aujourd'hui je meurs par ta main

Le jour de mes noces après souper
Je sortis pour aller danser
J'aperçus un grand homme pâle
Il avait une triste mine
Une épée dedans sa poitrine
Et alors il suivit mes pas
En criant vengeance sur moi

Sept changé en bête
Tu courras comme un damné
Sept dessous la lune
La nuit tu vas hurler
Sept ans dans sept paroisses
La terreur tu vas semer
Sept ans saisi de rage
Toujours te faudra errer
Sept ans le ventre vide
Et de sang assoiffé
Sept ans des nuits entières
Les hommes vont trembler
Jusqu'au soir de pleine lune
Où tu seras tué
D'une balle bénite
Alors tu seras en paix

(Malicorne " Le Bestiaire " )


Dernière édition par Asmoria le Mer 23 Juin 2010 - 21:16, édité 1 fois
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edelwen
Zéphyr
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MessageSujet: Re: Histoires et légendes syphériennes   Histoires et légendes syphériennes Icon_minitimeMer 23 Juin 2010 - 21:15


Citation :
Loin sous les sombres frondaisons, au-delà des collines froides sous la lune
Peuplades gobelines encontrées à foison, semant ruine sous la terre brune

Se trouve un autel ne portant de nom, pierres froides aux gardiens attentifs
Prière murmurée en son renom, gibier abattu qui était vif

Lase en ces bois règne, maintenant ce qu’elle peut d’équilibre
Celle qui fut abusée en son cœur saigne, l’équité ne se trouve qu’en les livres

Ce qui jadis lui fut confié, par delà les saisons et combats perdus
Est en ce jour dédié, par delà les saisons et combats revenus.

Héritage des peuples, hantise des nations, du cruel passé le témoignage de ce qui aurait pu être
Innocentes créatures pétrifiées depuis des éons, dérisoires prises sacrifiées en hommage des reitres

Cruel dilemme pour ceux qui désormais les portent, de les livrer ainsi que l’avenir des nôtres
Amère décision pour ceux qui de leur vote, choisissent de sauver ou non, sombres apôtres

La vie d’une province, d’une élue au grand cœur, sacrifiant peut-être l’avenir du pays dans la peur
Que l’unique, les neuf et les six aient en pitié, ceux qui des affaires des dragons se sont mêlés
Car à la vérité ils ne savent pas où ils vont, ayez pitié car de leur mieux ils font.
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Floria

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MessageSujet: Re: Histoires et légendes syphériennes   Histoires et légendes syphériennes Icon_minitimeJeu 24 Juin 2010 - 20:25

*La femme parle d'une voix douce et chantante, quelques grelots en main* Je vais vous conter une légende que mon père ma raconter lorsque j'étais encore une enfant. Ces soir là il s'asseyait au bord de mon lit *sa voix change se fait plus trainante alors qu'elle prend une tonalité de conteuse, comme si elle raconter l'histoire a de jeune enfants avant de les endormir. Quoi que faible la voix est parfaitement audible.* Et moi je posais ma tête sur ses genoux, d'une main affectueuse il caressait mes cheveux, et de sa voix paternelle commençait l'histoire de Noireau le lapinou.

Noireau le lapinou jouait dans le champ avec ses frères et ses soeurs. Sept ils étaient au total, et noireau bien qu'étant le dernier né n'était pas en reste.
Téméraire et courageux comme pas deux la petite boule de poil avait tendance à souvent s'éloigner du giron de sa mère.
Un jour alors que petit noireau jouait a poursuivre une sauterelle, sa mère le houspilla.
- Ne t'éloigne pas tant car un jour tu ne saura plus revenir.
Et Noireau de répondre
- Mais non et puis je fais ce que je veux et je reviendrai si je veux
Continuant à poursuivre l'insecte, et sans même s'apercevoir, changeant par deux fois de cible, il s'éloigna de trop de sa mère.
C'est aux premières goutes de pluie qu'il s'apperçu de sa bévue. *elle agite alors en un rythme très lent les grelot elle symbolise ainsi une pluie hésitante*
Le pauvre petit se retrouvait perdu et apeuré, couinant si fort qu'il pouvait il appelait sa mère qui était déjà bien loin bien au chaud avec ses frères et soeur a s'inquiéter dans le terrier.
Un moment était passé, Noireau compris que nul ne viendrait a lui, il se mit en chemin et arriva dans un bouquet de marguerite.
- Papillon papillon, qui te cache sous les pétals, as tu vu ma maman?
- Non non jeune lapin ce n'est pas dans les marguerite que vivent les tiens, va donc chercher plus loin dans le tronc d'arbre.
Noireau s'en alla sautillant a sa petite vitesse de petit lapin. Il arriva devant le gros tronc et s'écria.
- Maman maman est tu là?
Une forme se dessina au fond du tronc et commença a avancer vers lui. Noireau était heureux persuader que la silhouette serait celle de sa mère.
- Non non petit lapin, ici c'est ma cachette et je suis un écureuil non un lapin, va donc vois au bord de la marre peut là trouvera tu ta mère a boire?
Noireau se remis en route. Alors qu'il avançait vers la marre la pluie commença a tomber plus forte. *le rythme des grelots intensifie* Floc floc floc floc floc floc. Et les oreilles de noireau s'alourdirent son poil se trempa alors qu'il avançait difficilement vers la marre. Arrivé enfin a la marre il s'écria!
- Canne! canne a tu vu ma maman, j'ai froid j'ai faim et j'ai peur, je voudrai pouvoir a nouveau me blottir contre sa douce fourrure.
- Non petit lapin je ne sais pas ou est ta maman. Mais sous le grand chêne il y a un grand trou et l'on dit que les lapins vivent dans des trous.
Ses larmes se mêlant a la pluie petit lapin repartit. L'orage alors éclata dans toute sa force *les grelots maintenant ont un rythme rapproché et continu* Les tonnerres grondaient, le ciel était si noir que l'on se serait cru a la nuit , et les éclairs faisant deviner d'horribles monstre tapis dans les ombres. *au mot éclair elle donne un coup sec sur les grelot avant de reprendre le rythme de l'averse*
Ses bond étaient trainard de terreur, et il était maintenant persuadé que jamais plus il ne reverrai ses frère et ses sœurs, et encore moins sa tendre maman...
C'est là d'un coup!
Alors qu'un éclair venait de brièvement lui donner là vue qu'il vit!
A deux pas devant lui, il n'y avait aucun doute.
Un éclair de plus et il était sur! alors il couru si vite qu'il pu!
Mais ses petites pattes de jeune lapin se prirent dans une pierre au sol. Il trébucha et commença a rouler, totalement démuni.
*d'un coup net sans prévenir les grelots se stoppent*
*d'une voix sans expression* Et là tout s'arrêta. Plus d'orage pour Noireau. Plus de pluie pour le petit lapin.
[Olaxes] Georges: [Talk] *laisse échapper un cri* Noireau !
La frayeur c'était tue...
*un sourire malicieux éclaire le visage de la femme* Il venait de percuter la douce fourrure de Maman!
Les senteurs si familière et si réconfortantes en un instant lui avait fait oublié toutes les terreurs.

Conte commun. Lorsque l'on remonte ses variations, il fut créer dans les environs de Skalde, peu après la disparition d'un enfant parti joué trop loin de son logit
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Ambre

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MessageSujet: Re: Histoires et légendes syphériennes   Histoires et légendes syphériennes Icon_minitimeVen 25 Juin 2010 - 9:09

Citation :
Conte de la trop belle Deyrde et de l'impatient preux Finnde'il

Oyez et entendez gentes dames et preux sires, Oyez et entendez le destin de la douce Deirde et du preux mais impatient Finnde'il.

Dans la les bois de Luyr, bénies de Lase se prélassaient les Nymphes, entourées et gardées des Sylphes et Dryades. Parmi les Nymphes s'en trouvait une que Lase avait particulièrement touchée, une nommée Deirde, belle comme la goutte de rosée sur un pétale de rose.
Las la belle se désolait de tant de beauté, car elle attirait sur elle les désirs de tout ceux qui pénétraient les bois. Elle n'avait de cesse de fuir des prétendants, jouant de les perdre dans les frondaisons, car tous n'avaient que sa beauté comme but.

Pourtant son père, le dieu du fleuve voulait d'elle une descendance aussi belle que vigoureuse. Un jour, la jolie Deirde baignait ses menus petons mignons dans l'onde d'un ruisseau quand paru le preux Finnde'il, fleur de la chevalerie de Skalde, adorateur de Lase. Son écuyer à dextre, l'écu et l'armure luisante ouvragée de mille pétales. La belle Deirde allait s'enfuir quand le chevalier l'apostropha.

"Gente damoiselle attendez par tous les dieux et par la bénédiction de Lase ! Je ne veux pas être le suivant de ceux qui seront raillé pour vous avoir poursuivie vainement. Mettez moi au défi de ravir votre coeur, et laissez moi me montrer digne de votre amour."

La belle Nymphe retint sa course et se perchant sur une branche sourit au chevalier.
"Pour ravir mon coeur à Lase, il te faudra chevalier pêcher le saumon de la connaissance, fidèle conseiller de mon père, et répondre à une énigme"

Le preux releva le gant jeté par la Nymphe, et entreprit ce courir ce saumon. Il se nommait Alteros, et on disait que de sa chair le premier goutterait toute chose saurait. Le preux aidé de son écuyer acheta tous les filets de la région et entoura le lac des Muses, juste à l'embouchure de la Luyr, où Alteros venait tous les ans frayer. Le stratagème fut payant et le saumon au dépourvu pris - quoique d'aucuns murmurent au fond des bois que le père de Deirde aurait renoncé à son conseiller pour avoir une descendance assurée. Le preux Finnde'il enjoignit son écuyer de vite faire cuire le poisson, se délectant d'avance de la chair, et de l'énigme résoudre. Il ordonna à son écuyer de ne surtout pas manger du poisson, afin de se préserver de droit la récompense. L'écuyer suivit les ordres mais le bouillon de la marmitte était furibond et d'un bond eclaboussa le pauvre page, lui brûlant la main. Il atténua la brûlure en se lêchant le doigt. Le preux Finnde'il approcha sentant le fumet.
"Tu as bien respecté mes consignes ?" demanda-t-il. "Bien sûr Ser !" lui tendant le poisson dont la chair était fumante et odorante. Le preux Finnde'il mangea donc Alteros, et retourna au fond des bois, où l'attendait la belle Deirde. Elle lui laissa démonter et se présenter.

"Dame des Profondeurs de la forêt, je suis prêt à subir votre épreuve."
"Sais-tu qui a la connaissance des siècles du conseiller de mon père ?" demanda-t-elle.
Souriant, il répondit la regardant droit dans les yeux : "moi bien sûr"
La jolie Nymphe le regarde tristement "Vous avez failli à mon épreuve preux Finnde'il. Le saumon a choisi un autre pour moi".
Furieux, le preux regarda son écuyer. "Tu m'as menti !" rugit-il la main sur son épée. "Nenni messire !" s'écria l'écuyer. Il trancha la gorge du pauvret, laissant son sang se répandre sur la terre nourricière, et les bois de connaissance s'abreuver. La Belle Nymphe ébahie recula, et laissa un arbre l'absorber pour la protéger.
"Pour ce crime, tu erreras sans fin parmis les bois, car tu viens de perdre à la fois le coeur de la protégée de Lase et le puis de connaissances offert par son père." retentit une voix à la fois mélodieuse et autoritaire semblant irradier des bois eux-mêmes.
Depuis, parmis les murmures des bois de Luyr, peuvent s'entendre les raclements de l'armure du preux. La belle, au grand damn de son père ne pris jamais époux, et on peut encore voir des jeunes chercher à la rattraper.

La morale de cette histoire, c'est que trop de beauté, même accordée des dieux est souvent fardeau, de même que précipitation mène à perte et malédiction.
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